Lunïatah entra dans la ville, come à son habitude, un capuchon couvrait sa tête, ne laissant que voir sa bouche et le début de son nez. Elle jeta des regards noirs aux passants car elle savait bien se qu'ils pensaient d'elle, car les rôdeurs du nord avaient eut une sacrée réputation de gens babares, ce qu'ils n'étaient pas du tout.
Remarquant plus loin une vieille auberge mais grande, elle se décida d'y aller. En entra, la dame des dunedains remarqua que tout les cliebnts s'étaient retournés vers elle, surtout car lorsqu'elle avait ouvert la porte, le vent froid de l'hiver était entré en bourrasque, éteignant toutes les bougies allumées.
La rôdeuse alla vers un coin sombre de la pièce, là où personne n,osait s'aventurer. Elle continua de regarder un après l'autre les clients qui commençaient peu à peu à reprendre leur discussion, sans jamais quitté des yeux la jeune femme (m'enfin jeune... d'apparence!)
Ce remetant aux activités des rôdeurs du nord, elle prit une pipe en bois qui trainait dans un petit sac de sa cienture, elle y mit de l'herbe à pipe et elle commença a fumer. La partie visible de son visage semblait prendre légerement les couleurs du feu et ses yeux verts émeraudes se mirent à luire sous l'ombre de son capuchon.
Soudainement, un client assis au comtoire parla a voix basse, mais ayant l'ouïe d'une elfe, elle réussit à l'entendre:
"C'est qui ça, là bas au fond de la sale?"
L'aubergiste baissa la voix et dit:
"On l'appele la rôdeuse. Elle vient d'un peuple du nord, à ce qu'on dit. Il ne faut pas faire confiance à se peuple, parait-il qu'ils sont barbares et sans pitier, faut pas lui faire confiance! Je me répète, mais même si elle aurait le plus beau visage au monde, elle restera une rôdeuse!"
Remarquant qu'ils étaient vus, ils se retournèrent brusquement et l'aubergiste se remit à la chope qu'il nétoyait.