Dans une sombre auberge

Invité

Lunïatah entra dans la ville, come à son habitude, un capuchon couvrait sa tête, ne laissant que voir sa bouche et le début de son nez. Elle jeta des regards noirs aux passants car elle savait bien se qu'ils pensaient d'elle, car les rôdeurs du nord avaient eut une sacrée réputation de gens babares, ce qu'ils n'étaient pas du tout.

Remarquant plus loin une vieille auberge mais grande, elle se décida d'y aller. En entra, la dame des dunedains remarqua que tout les cliebnts s'étaient retournés vers elle, surtout car lorsqu'elle avait ouvert la porte, le vent froid de l'hiver était entré en bourrasque, éteignant toutes les bougies allumées.

La rôdeuse alla vers un coin sombre de la pièce, là où personne n,osait s'aventurer. Elle continua de regarder un après l'autre les clients qui commençaient peu à peu à reprendre leur discussion, sans jamais quitté des yeux la jeune femme (m'enfin jeune... d'apparence!)

Ce remetant aux activités des rôdeurs du nord, elle prit une pipe en bois qui trainait dans un petit sac de sa cienture, elle y mit de l'herbe à pipe et elle commença a fumer. La partie visible de son visage semblait prendre légerement les couleurs du feu et ses yeux verts émeraudes se mirent à luire sous l'ombre de son capuchon.

Soudainement, un client assis au comtoire parla a voix basse, mais ayant l'ouïe d'une elfe, elle réussit à l'entendre:

"C'est qui ça, là bas au fond de la sale?"

L'aubergiste baissa la voix et dit:

"On l'appele la rôdeuse. Elle vient d'un peuple du nord, à ce qu'on dit. Il ne faut pas faire confiance à se peuple, parait-il qu'ils sont barbares et sans pitier, faut pas lui faire confiance! Je me répète, mais même si elle aurait le plus beau visage au monde, elle restera une rôdeuse!"

Remarquant qu'ils étaient vus, ils se retournèrent brusquement et l'aubergiste se remit à la chope qu'il nétoyait.

50 points Nombre de messages : 481 Date d'inscription : 25/08/2006

Aliane était assise à une table un peu plus loin de celle de la jeune femme qui venait d'entrer.

Ses longs cheveux rougeoyants barraient son visage fin, afin que personne ne puisse reconnaître cette 'jeune' femme qui jouait avec une dague qu'elle faisait passer entre ses doigts avec dextérité.

¤On l'appelle la rôdeuse. Elle vient d'un peuple du nord, à ce qu'on dit. Il ne faut pas faire confiance à se peuple, parait-il qu'ils sont barbares et sans pitier, faut pas lui faire confiance! Je me répète, mais même si elle aurait le plus beau visage au monde, elle restera une rôdeuse!¤

La Nymphe avait redressé la tête à cette tirade de l'aubergiste, et l'avait tourné vers la soit-disante rôdeuse, assise au-fond de la pièce, en dégageant les cheveux de son visage creusé, mais qui possédait la beauté de celui de toute nymphe.

Perdue dans ses pensées, elle n'avait pas vue les deux hommes qui s'étaient avancés vers elle.
L'un était d'une masse plutôt imposante, alors que l'autre était filiforme. Mais tout deux avaient cette étincelle malsaine et hargarde dans le regard.

¤Eh, salut toi !¤

avait lancé le plus massif d'une voix qui trahissait son ivresse.

Aliane ne se retourna même pas vers lui, semblant l'ingnorer du plus haut point.

¤T'as pas entendu ? Ya mon copain qui t'parle !¤

avait riposté l'autre, en empoignant la Nymphe par le col.
Cette dernière avait froncé les sourcils.

"Quel manque de politesse !"

ironisa t-elle en se dégageant d'un geste brusque du maigre brigand et en vaccant de nouveau à ses occupations.
Elle savait très bien que son attitude 'chauffait' les deux malfaisants, et elle s'en plaisait.... Leur mort ne serait que plus plaisante.

Cette pensée l'interpella..... Qu'était-elle donc en train de faire ? Cette pensée n'était-elle pas réservées au mériens ?

Sa main tremblait légèrement, alors qu'elle continuait à jouer avec sa dague.

Mais c'est pourtant sans regrets, et sans hésitations qu'elle avait tué les deux brigands d'un coup de coutelas, lorsque l'un des deux l'avait prise par les cheveux....

Qu'était-elle donc en train de devenir ?

Invité

La rôdeuse vit alors tout de suite se qui se passait plus loin. Ne tolerant pas la violence ou quoi que se soit fait aux femmes, elle empoigna un petit poignard qui était accroché sur sa ceitnure et s'appreta à le lancer au cou d'un des deux brigands mais... Trop tard, la jeune femme aux cheveux rouges les avaient déjà tuer.

*Au moins je n'aurais pas a gaspiller mes poignards!*

Puis, elle déroula une carte de l'elderia en regardant le parcourt qu'elle avait fait depuis le grand Nord. Elle avait beaucoup marcher, mais parfois ,elle montait à dos de son fidel cheval gris à la crinière blanche comme la neige.

Lunïatah releva les yeux vers la jeune femme et fronça les sourcils. La beauté qui se dégageait d'elle l'essait croire que c'était une nymphe. À cette idée, la dunedaine exprima une grimace de dégout, qui ne parraissait pas tellement à cause de l'ombre qui était tomber sur son visage.

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